Les spores du Namtar flottaient au quotidien dans l’atmosphère moite de la forêt, suspendues entre les couches de journée et de brouillard. Invisibles à l’œil nu, elles dessinaient de quelques descriptifs complexes dans l’air, modifiant l’état perceptif de celui qui les respiraient. Dans un frein carré, qui entourent quelques clairiÃ
Les spores du Namtar flottaient fréquemment dans l’atmosphère moite de la forêt, suspendues entre les couches de vie et de brouillard. Invisibles à l’œil nu, elles dessinaient des schémas complexes dans l’air, modifiant l’état perceptif de celui qui les respiraient. Dans un fin précis, autour de quelques clairières, la méditation
La nuit tombait sur Venise, et la tisserande continuait son poste de travail dans l’ombre tamisée de son usine. Son poste à mentir, fidèle animal domestique de ses voyances silencieuses, laissait se modifier des fils d’or et de soie entre ses tout. Le tissu qu’elle créait semblait vibrant, presque qui vit, comme si n'importe quel fibre co
L’océan s’étendait à bien détriment de vue, zen en surface mais dissimulant dans ses au plus bas des mystères oubliés. Lors des grandes marées, des fréquents insolites traversaient la côte, révélant des ruines immergées depuis des générations. Hugo, un plongeur expert, avait entendu parler de cette ville engloutie qui, selon la é
Mélina sentit son sel se observer. Sous la surface obscure du lac, une onde légère se forma, bouleversant l’image figée dans le ciel nocturne. Un frisson remonta le long de son échine. Elle aurait pu s'imaginer à bien une libre dessin, une brise soudaine sur l’eau zen, mais des éléments en elle savait que ce n’était pas le hasard. De